Avez vous déjà vu « Niagara » ? 1953. Un couple. L’amant… Mais surtout Marilyn Monroe et les chutes. Les jeunes mariés que nous sommes sont bien loin de ces histoires de meurtres et d’adultère.

En route pour les chutes du Niagara
Nous vous conseillons d’arriver tôt car vous pourrez ainsi, comme nous, profiter d’une promenade avant de prendre le bateau sans trop faire la queue. Nous découvrons ainsi à la fraîche le site vu d’en haut. Comme tout touriste qui se respecte, nous prenons beaucoup trop de photos.
Nous nous équipons ensuite d’un magnifique « imperméable poubelle » pour embarquer vers la balade mouillée. Nous apprenons qu’il y a en réalité 3 chutes : le « fer à cheval », les « chutes américaines » et le « voile de la mariée ».

Le fer à cheval

Le voile de la mariée
La magie opère : auréoles de lumière courant de gouttes d’eau en gouttes d’eau, arc-en-ciel, vent puissant, mais surtout le bruit… assourdissant, vrombissant, époustouflant. Notre embarcation est parfois tellement proche qu’il est impossible de faire face aux chutes. Nous en sommes KO.
De retour sur la terre ferme, la ville n’est qu’une série de boutiques souvenirs et de casinos, donc nous ne nous attardons pas. Direction Niagara-on-the-lake.
Changement de décors, nous découvrons une belle avenue principale bordée de charmants cottages, de « bakery » alléchantes et de « diner » familiaux. Marie a les yeux plus gros que le ventre car après le sandwich à la dinde accompagné de son milk-shake au STAGECOACH FAMILY RESTAURANT, il n’y a plus de places pour d’autres gourmandises.
Une petite balade digestive s’impose. Nous flânons donc le long du lac Ontario avant de nous reposer au bord de la piscine de notre charmant hôtel au lit couvert de pétales de roses (et oui, cela existe).
Il nous reste encore 2 jours en Ontario, avant de nous diriger vers le Québec et de reparler enfin français (enfin c’est ce que nous croyons).